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La Fédération a 50 ans aujourd'hui !

Cinquante ans. Le bel âge pour une grande dame qui n'a pourtant jamais été aussi jeune et dynamique. Née le 20 août 1964 à la Côte des Basques, la Fédération Française de Surf regroupe aujourd'hui 160 clubs pour plus de 13.000 licenciés. Un demi-siècle après sa fondation, nous vous proposons de (re)découvrir son histoire.

 

 

Les origines

Sept ans après l'apparition du surf en France sur les vagues de Biarritz, la Fédération Française de Surfriding est créée sous la présidence de Monsieur Guy Petit, maire de Biarritz à l’époque. Elle entend fédérer les clubs de surf du littoral.

Ceux-ci, pionniers, sont à cette époque au nombre de quatre. Le plus ancien est le Waikiki surf club créé le 16 septembre 1959 par Carlos Dogny, Peter Viertel, Jacques Rott, Georges Hennebutte, Joël de Rosnay et Michel Barland. Parmi les membres du club, citons notamment André Plumcocq, Robert Bergeruc, Pierre Laharague, Joseph et Jo Moraiz, Paul Pondepeyre, Henri Etchepare et Claude Durcudoy. Le Waikiki est installé dans les établissements des Bains de la Côte des Basques. Le Surf Club de la Chambre d’Amour est, lui, créé le 27 août 1963. Il est inauguré par le Dr Lacroix, maire d'Anglet, et Deborah Kerr, célèbre actrice américaine des années soixante et épouse de Peter Viertel, lequel a introduit le surf en France six ans plus tôt. Installé dans l'établissement des bains de la cité angloy, il a pour président Joël de Rosnay. Il est rebaptisé quelques mois plus tard : Surf Club de France. 

Cette même année, deux autres clubs viennent grossir les rangs : l'USB et le Kostakoak de Bidart. L’objectif de la création de la Fédération est de réunir toutes les « tribus » des plages qui se font concurrence. Le 20 août 1964, au lendemain de la diffusion à la télé de l'émission « Les coulisses de l'exploit » consacré au surf, a lieu à la Côte des Basques la réunification de ces clubs par le Maire de Biarritz Guy Petit. Le siège est basé à l'office du tourisme de la ville. La Fédération Française est dans la foulée affiliée à la Fédération internationale qui, elle aussi, vient d'être créée.

 

Les premières compétitions

Si les championnats de France ont eu lieu à Biarritz depuis 1961, les premiers championnats sous l'égide de la Fédération Française de Surfriding se dispute en 1965 à Anglet. Joël de Rosnay et Marie-Christine Delanne sont sacrés champions de France. Cette même année, Jacky Rott et Jo Moraïz représentent la France aux deuxièmes Championnats du Monde qui se déroulent à Lima, au Pérou. 

Deux ans après la création de la FFS, le Comité régional d’Aquitaine voit le jour. Il regroupe les différents clubs de la région. 

Médiatisés dans les magazines et films de surf américains, les spots français, dont celui de la Barre, attirent de plus en plus d'étrangers. On organise alors des compétitions internationales auxquelles participent les grands noms de l'époque : les Australiens Bob Keenan, Mickael Hickey, Nat Young, Wayne Carroll, Peter Troy, les Hawaïens Jan Lee, Gerry Lopez, Jeff Hackman… Ceux-ci ne font pas que passer. Ils s'installent plusieurs semaines, voire quelques mois pour profiter des conditions exceptionnelles du golfe de Gascogne. 

C'est en les voyant glisser sur leurs vagues, que les pionniers français se mettent à progresser, qu'une nouvelle génération voit le jour. Bernard Capdepont, Christophe Bordenave, Gérard Dabadie, … incarnent cette seconde vague.

Le surf gagne les Landes et la côte girondine avec deux pôles incontournables : Hossegor et Lacanau. 

 

Le développement fédéral

Jean-Noël Bladinaire succède à Guy Petit qui aura présidé la FFS de 1969 à 1972.

La compétition prend un nouveau tournant avec les frères Jean-Marie et François Lartigau, lesquels remportent pendant quatre années consécutives les Championnats de France (1966 à 1969). 

Cette période est marquée par la mentalité hippie des 70s. La plupart des surfeurs rejettent la modernité et un fossé se creuse entre ceux qui veulent faire de la compétition et ceux qui veulent juste surfer. 

Les années soixante-dix marquent toutefois le développement de la Fédération Française de Surfriding. En 1972, elle reçoit la délégation de pouvoir du Ministère de la Jeunesse et des Sports pour organiser, développer et réglementer la pratique du surf. 

Cette même année, Jacques Fagalde devient le troisième président de la Fédération.

L'année suivante, un premier pas vers l’enseignement du surf s’effectue avec la création du premier Brevet Fédéral de Surf.

 

La vague tahitienne

Après les Australiens et les Américains, ce sont les Tahitiens qui vont apporter un nouvel élan au surf français. Ceux-ci dominent implacablement les compétitions nationales. Henri Lucas, Patrick Juventin, Arsène Harehoe sont au-dessus. Harehoe, le Dark Horse, remporte notamment 5 titres nationaux entre 1976 à 1989. En 1976, Tahiti accueille même les championnats de France à 20.000 km du siège de la FFS. Le comité tahitien les organisera une seconde fois, en 1987, avant de quitter le giron fédéral avec la création de la Fédération tahitienne de surf. Au cours de la quinzaine d'années de relations étroites, les Polynésiens ont apporté une vague de fraîcheur au surf national. Un engagement total, une insolente décontraction en compétition et une maîtrise parfaite des tubes. Sur le papier, les Tahitiens permettent à la France de dominer le surf européen avec les titres continentaux des cousins Wilfried, Ralf et Christine Sanford et surtout, le titre mondial junior de Vetea "Poto" David, en 1986 à Newquay (Angleterre). 

Le surf métropolitain va toutefois superbement réagir. Entrainés par le Biarrot Thierry Sansoube, trois surfeurs vont dominer le surf français pendant de nombreuses années : Thierry Fernandez, Jean-Louis Poupinel et Thierry Domenech. Ceux-ci vont également porter haut les couleurs de la France lors des championnats d'Europe mais aussi du monde dans les années 80. Avec eux, le surf français négocie un tournant : il dépasse le temps où l’on embarquait pour découvrir les vagues du bout du monde. 

 

Changement d'appellation

En 1997, Jean-Baptiste Caulonque succède à Jacques Fagalde à la tête de la Fédération. Laquelle, avec le boom du skateboard, est habilitée à réglementer la discipline. La Fédération change de sigle et devient en 1977 la Fédération Française de Surf et Skate. Elle déménage un an plus tard de Biarritz à Seignosse, dans les Landes. 

Mais c'est pourtant dans son berceau historique qu'elle revient lorsqu'elle décroche l'organisation des 8es championnats du monde. En 1980, Biarritz accueille les Mondiaux qui marquent l'émergence d'un jeune américain qui a pour nom Tom Curren. La France sera de nouveau le pays hôte des Mondiaux de l'International Surfing Association (ISA) en 1992 (Lacanau) et 2008 (Seignosse). A chaque fois, la Fédération est à la baguette.

Jean-Pierre Vilaverde est élu président de la Fédération en 1981. Il effectuera un mandat de quatre ans avant d'être remplacé par Jean-Louis Bianco (1985 - 1988).

Après l'intermède Seignosse, la FFSS déménage et s'installe en 1984 à Hossegor, dans un bâtiment de la mairie. En parallèle au surf,  les disciplines associées comme le bodyboard notamment, prennent leur envol. 

 

La Réunion, nouvel horizon

Après Tahiti, le surf français va s'enrichir d'une autre terre de surf. La Ligue réunionnaise de surf voit le jour en 1984 par la volonté d'un homme : Maxence de la Grange qui parvient, comme Guy Petit en 1964, à fédérer les deux clubs rivaux des Roches Noires et de Boucan Canot. Sur ce caillou de l'océan Indien, léché par les swells massifs de l'Antarctique, le surf est apparu au début des années 70. Influencés par les pionniers australiens, installés sur l'île Maurice voisine, mais aussi par les Sud-Africains, les Réunionnais se mettent à organiser des compétitions à grande échelle, et une génération de compétiteurs aux dents longues débarque en métropole. Eric Coutelier est vice-champion de France derrière Vetea David en 1984, Anne-Gaëlle Hoarau va dominer le surf féminin français pendant plus de dix ans, Stéphane Sisco est le n.1 européen du bodyboard pendant cinq ans. Pour progresser et aller chercher le titre en surf, les Réunionnais comprennent que le passage obligé est la formation. Avec Christophe Mulquin et Patrick Florès à leur tête, les sélections réunionnaises dominent les championnats de France dans les années 90. La génération dorée est symbolisée par Boris Le Texier et Fred Robin, auxquels on ajoutera Alexis Gazzo, Christophe Perry, David Legleye, Hugo Savalli, … 

 

Le surf comme métier mais aussi… à l'école

Le premier diplôme, le Brevet Fédéral voit le jour en 1973. En 1984, un arrêté ministériel créé le Brevet d’Etat de surf. Le surf se professionnalise. Il y a une réelle volonté de la Fédération pour que les surfeurs puissent vivre du surf. 

La première session se déroule en septembre 1987. Six récipiendaires obtiennent le premier BE surf. L’enseignement du Surf contre rémunération se légalise, les écoles de Surf commencent à s’implanter sur les côtes et à se développer. 

L’enseignement du surf peut être rémunéré. Chose inimaginable 20 ans auparavant, des jeunes surfeurs peuvent vivre du partage de leur passion. Et même correctement en vivre car, spécificité française, à partir de la fin des années 90, les écoles de surf font le plein, à l’image des Ecoles de Ski dans les stations. 

Les années 80 sont également marquées par l'apparition du surf à l'école. Véritable obstacle pour vivre une vraie vie de surfeur. Puisque les jeunes désertent l’école pour aller surfer, la Fédération a mis dans l’école ... du surf ! Finement joué, car du coup les surfeurs y sont restés. En 1987, la création du Sport-Etude officialise le premier acte et par la suite, l’accompagnement scolaire du haut niveau sera couronné par la labélisation du Pôle France en 1996, quatre Pôles Espoirs complètent le dispositif en région. Ces démarches de la Fédération visent à accompagner le double projet, sportif et scolaire. En parallèle, le surf devient une matière optionnelle au  baccalauréat. 

 

La mode surf déferle 

A la fin des années 80, un phénomène que personne n’a prédit se produit : la mode du surf sort soudain de son cercle restreint d’initiés et déferle, d’abord sur les plages, puis dans les villes. Les marques de textile, anglo-saxonnes ou françaises, connaissent un essor fulgurant et une croissance à deux chiffres. Le business de la glisse est né, il surfe avec succès sur une image surf bâtie de fun, de liberté, de jeunesse et d’écologie. Par ricochet, les régions atlantiques se voient dotées d’un nouvel atout touristique, l’Aquitaine devient la Californie de l’Europe attirant surfeurs et amateurs de vacances océanes, Biarritz et Hossegor se partagent le titre de capitale du surf.

Une activité économique se développe, créatrice d’emplois pour les jeunes surfeurs

passionnés. Pour entretenir le rêve, les marques investissent dans des compétitions qui se multiplient, et soutiennent activement les champions français. La Fédération Française de Surf bénéficie de la notoriété du surf et assiste à la création de l’EUROSIMA, entité qui réunit les entreprises du secteur, avec qui elle partage aujourd’hui ses locaux.

 

La reconnaissance du mouvement sportif français

En 1989, Jean Saint-Jean succède à Jean-Louis Bianco et prend les rênes de l'institution qu'il présidera jusqu'en 1992.

La Fédération est officiellement reconnue par le Comité National Olympique et Sportif Français en 1989. C'est la première Fédération nationale de surf au monde à être reconnue par son propre Comité National Olympique. Un an plus tard, la Commission Nationale du Sport de Haut Niveau reconnaît le surf comme discipline de Haut Niveau. Le surf bénéficie des dispositions prévues pour les sportifs de Haut Niveau : suivi social, aides individualisées, suivi médical, structures d'accession au Haut Niveau, etc. Toujours en 1990, on assiste à la création d’un poste et nomination d’un Directeur Technique National, agent du Ministère des sports, placé auprès de la FFSS pour en assurer le développement. Francis Distinguin est le premier DTN du surf français, fonction qu'il occupera jusqu'en 2008. Il sera accompagné dans sa mission dès 1994 par un premier cadre technique national, Jean-Paul Destenaves, lequel prendra sa retraite en septembre prochain. 

En 1993, Alain Farthouat succède à Jean Saint-Jean à la tête de la Fédération. Un poste de président qu'il occupera jusqu'en 2004. 

En 1995, la Fédération Française de Surf et Skate se sépare du skate pour devenir la Fédération Française de Surf. 

Un an plus tard, les appellations antérieures « Sports études, Centre Permanent d'Entraînement et de Formation » sont remplacées par « Pôle France ». Les Pôles Espoirs à La Réunion et en Guadeloupe, puis de Bretagne, obtiendront bientôt leur labélisation. Véritable reconnaissance par le Ministère des Sports.

Les années quatre-vingt dix sont marquées par la montée en puissance des équipes de France. Nicolas Capdeville remporte le premier de ses deux titres mondiaux à Lacanau lors des Mondiaux ISA que la France organise en 1992. Intraitables en Europe, les Français grimpent dans la hiérarchie mondiale et entre dans le Top 5 des nations.

A la fin des années 90, un phénomène émerge : Jérémy Florès. Né à La Réunion, formé par son père sur les vagues australiennes, il intègre les équipes de France très tôt et deviendra à 17 ans le plus jeune surfeur à remporter le circuit WQS pour intégrer le WCT dès 2007. Il possède à ce jour le plus grand palmarès du surf français.

 

Les années 2000

La Fédération Française de Surf entre dans le 3e millénaire avec une belle reconnaissance : elle est consacrée Fédération Sportive la plus active dans le domaine de l'insertion et de la citoyenneté. 

Les années 2000 marquent aussi l'avènement du surf féminin en France. Finis la baignade et le bodyboard, la surfeuse n’attend plus son chéri sur le sable, elle l’a rejoint au line up depuis bien longtemps. Le surf est un sport qui se conjugue de plus en plus au féminin et les surfeuses françaises en font la preuve au plus haut niveau. Anne-Gaëlle Hoarau et Emmanuelle Joly ont leurs successeurs : Marie-Pierre Abgraal, Pauline Ado, Lee-Ann Curren, Justine Dupont, Cannelle Bulard, Johanne Defay.

Avec un tiers des licenciés, plusieurs titres de championnes du monde amateurs et même professionnel junior, deux championnes dans le top mondial (Ado et Defay), de plus en plus de professeurs, d’éducatrices et de responsables associatifs, les filles ont pris ancrage dans la Fédération apportant un réel dynamisme, une vraie ténacité et quelques unes de ses plus belles victoires. 

Ancien cadre technique national, Jean-Luc Arassus succède en 2005 à Alain Farthouat et devient le neuvième président de la Fédération. Il a été réélu en mars 2013 pour un troisième mandat de quatre ans.

La crise économique de 2008, puis le tassement de la mode surf, ouvrent une période difficile pour cette jeune industrie. Mais le nombre de pratiquants continue à augmenter régulièrement et l’industrie, après une période de reconstruction, redémarre, portée par les secteurs du matériel technique et le développement des micros-structures des secteurs de la communication notamment.

Après dix-huit ans de services, Francis Distinguin quitte ses fonctions de Directeur technique national. François Pradier lui succède et assure cette responsabilité de 2008 à 2010, date à laquelle Michel Plateau devient le troisième DTN du surf français. Poste qu'il occupe toujours aujourd'hui.

 

Une nouvelle ère

En 2010, la Fédération française de Surf obtient la délégation pour la réglementation et le développement de la pratique du Stand Up Paddle. Ce nouveau support révolutionne la pratique en ouvrant de nouveaux horizons. La Méditerranée devient une terre de prédilection mais désormais chaque cours d'eau voit débarquer les adeptes du Sup…qui ne tarde pas à générer une élite. Aux championnats du monde ISA, la France brille sur les vagues avec le titre mondial d'Antoine Delpero (2012) comme sur les courses avec l'or de Titouan Puyo (2014).

La Fédération Française de Surf déménage une nouvelle fois pour s’installer durant l'année 2010 dans un bâtiment posé sur la dune de la plage sud à Hossegor. 

Frappé de plein fouet par des attaques régulières de requins depuis 2011 (15 pour six mortelles), le surf réunionnais semble dans une impasse puisqu'il y est interdit depuis juillet 2013. Deux hommes ont relevé le défi de permettre aux pratiquants de retrouver les vagues en toute sécurité : Christophe Mulquin et Patrick Florès ont été élus aux dernières municipales. Soutenue par la fédération, la Ligue de Surf se bat elle aussi pour que la situation redevienne celle d'avant 2011 avec un risque acceptable. En 2003, La Réunion organise les championnats de France. Onze ans plus tard, elle continue à fournir certains des meilleurs surfeurs français comme Florès, Maxime Huscenot, Medi Veminardi, Jorgan Couzinet, Johanne Defay, Amaury Lavernhe.

En janvier 2013, l’Association Handi-Surf reçoit de la Fédération Française de Surf l’agrément « Association Nationale ». La FFS donne ainsi délégation à l’Association Nationale Handi-Surf  pour développer sur tout le territoire français la pratique du surf  et des disciplines qu’elle reconnaît, pour des personnes en situation de handicap.

Cette même année, la Fédération reçoit la mission de créer et de développer le Label Qualité Tourisme dans le secteur des écoles de surf. A ce jour, le label Ecole Française de Surf représente 124 écoles, 260 moniteurs pour une estimation de plus de 60 000 élèves par saison.

Vingt-sept ans après la création du Comité guadeloupéen de surf (1987), les Antillais Léo-Paul Etienne et Kim Véteau remportent la médaille d'or et la médaille d'argent aux championnats du monde juniors ISA 2014 en équateur. Permettant à l'équipe de France de doubler les Etats-Unis et l'Australie au classement des nations et d'échouer à quelques points du titre mondial que lui arrache Hawaii. La troisième vague des îles arrive des Antilles avec une génération brillante qui déferle avec réussite sur les compétitions de jeunes.

Le surf est aujourd’hui une matière enseignée à l’école : primaire, collège, lycée et université. Plus besoin de sécher les cours pour faire du surf ! Et après 14 années à Bayonne, les surfeurs-scolaires déménagent à Biarritz pour la rentrée de septembre.

 

Joyeux anniversaire !

Ce mercredi 20 août 2014, la Fédération Française de Surf fête ses 50 ans à la Côte des Basques… Là où tout a commencé voici cinq décennies.

Elle représente aujourd'hui 13.500 licenciés répartis dans 160 clubs de l'Hexagone et à l'outre-mer. Elle compte par ailleurs 124 Écoles Française de Surf. 

Elle dispose d'un Directeur Technique National, Michel Plateau, ancien compétiteur et membre des équipes de France, et de sept cadres techniques nationaux (CTN). 

Son palmarès est détonnant avec pas moins de 17 titres individuels de champions du monde, 45 titres individuels de champions d'Europe, 20 titres par équipes de champions d'Europe et 2 titres par équipes de champions du monde.

Le prochain grand rendez-vous de la Fédération Française de Surf est programmé à la Toussaint. Du samedi 18 au dimanche 26 octobre, elle organisera les championnats de France du cinquantenaire à Hossegor. L'occasion de réunir de nouveau toutes celles et ceux qui ont écrit son histoire.

Dernière modification le : 23 août 2014
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